« Les grands patrons s’en mettent plein les poches alors qu’ils ont jeté sauvagement les employés à la rue. On parle ici de pères et de mères de famille, qui ne gagnent pas des fortunes et qui travaillent à la sueur de leur front, pas d’une poignée de privilégiés », affirme le vice-président du Syndicat national des travailleurs et travailleurs des pâtes et papiers d’Alma, Daniel Bilodeau.
Ce dernier fait référence à l’annonce du 28 juillet, où PFR a annoncé le départ de trois de ses hauts dirigeants, dont le président et chef de la direction, Rémi G. Lalonde. Selon La Presse canadienne, ce dernier recevra à lui seul 14 millions de dollars en compensation. Cette nouvelle indigne l’indignation des employés.